jeudi 17 avril 2014

Attentats du 11/09/2001 : nouvelles preuves d'une arnaque US


Si vous êtes comme moi, vous trouverez probablement que la complexité technique des débats de ‘’La Vérité sur le 11/9’’ est assez intimidante. C’est ce qui rend la vidéo suivante de Barbara Honneger particulièrement précieuse. Honneger décompose les preuves scientifiques pour les rendre plus digestes, qu’elle illustre avec des images des médias contemporains, des interviews vidéo et des illustrations simples et cohérentes.


Honegger a été chercheuse et analyste dans l’administration Reagan. En 1989, elle a publié The October Surprise, au sujet d’un accord secret entre la campagne de Reagan et le gouvernement iranien pour retarder la libération des 52 otages américains jusqu’après les élections présidentielles de 1980. Elle a également mené des enquêtes sur le 11/9 qui ont découvert que les exercices de simulation de guerre NORAD avaient eu lieu simultanément avec les détournements du 11/9. Beaucoup de chercheurs attribuent l’échec de la Force aérienne à intercepter les avions détournés à la confusion causée par ces exercices.

La présentation de Honneger se concentre principalement sur les aspects technologiques des événements qui se sont déroulés au Pentagone. Des rapports de témoins et des preuves sismologiques indiquent qu’il y a eu au moins cinq explosions causées par des explosifs pré-plantés entre 9h30 et10h00 le matin du 11 Septembre 2001. Il y a également des preuves physiques par des témoins oculaires indiquant qu’un drone a explosé sur la pelouse du Pentagone juste en face de la caserne des pompiers à 09h32.

A 9h32, le vol 77 qui est supposé avoir frappé le Pentagone à 9h38, n’avait même pas encore atteint Washington DC.

Sur la base des documents officiels de vol, que Honegger inclut dans sa présentation, il n’y avait aucun vol 77 provenant de l’aéroport de Dulles le 11 septembre 2001. American Airlines n’a pas pu fournir la liste des 59 passagers qui soi-disant seraient morts dans une boule de feu au Pentagone, pour la bonne raison qu’il n’avait aucun vol enregistré.

Les seuls éléments sur lesquels repose l’existence du Vol 77  sont un soi-disant appel par téléphone cellulaire de Barbara Olson à Ted Olson, Avocat général, et un rapport de la FAA (Federal Aviation Administration) sur un vol présumé être le vol 77 disparaissant des radars à 9 heures aux alentours de la frontière Ohio / Kentucky. Après une enquête approfondie, le FBI a déterminé que  l’appel n’a jamais eu lieu.

Preuve d’un Inside Job


Honegger estime que les explosifs pré-plantés au Pentagone sont la meilleure preuve que le 11/9 était un Inside job. Seuls les initiés de haut niveau au Pentagone avaient accès aux sites spécifiques où des explosions ont eu lieu.

Elle croit aussi que ce n’était en aucun cas un hasard si la plupart des employés du DOD (Department of Defense) tués le 11/9 étaient ceux qui cherchaient à retrouver la trace des 2,3 trillons de dollars des fonds du Pentagone dont Rumsfeld ne pouvait justifier la disparition (la lanceuse d’alerte de la CIA Susan Lindaur dit que le montant réel était $ 9,1 trillions). Ce n’est pas un hasard non plus si tous les documents ont été détruits dans les explosions.

La révélation la plus choquante de Honneger vient à la fin quand elle répertorie tous les néocons de double nationalité (israélo-américaines) liés à l’attaque sur le Pentagone du 11/9 (Wolfowitz, Perle, Zakheim, Zelikow, Chertoff). Je suis peut-être naïve, mais je n’avais absolument jamais pensé que Bush et Cheney aient pu donner à des citoyens israéliens les positions de sécurité nationale exigeant une habilitation de sécurité de haut niveau. Comme le souligne Honneger, leur étroite implication dans le 9/11 suggère qu’ils agissaient au nom d’Israël et non des États-Unis.