samedi 28 janvier 2017

La CIA intensifie sa guerre contre le président Trump



Le coup d'état du "Deep State" dirigé par la CIA contre le président franc-maçon Donald Trump s'est accéléré au point que le Bulletin des scientifiques atomistes (Bulletin of Atomic Scientists) vient de déplacer son Horloge du "Jour du Jugement dernier" à deux minutes et demie avant minuit, signifiant que notre monde est maintenant plus en péril qu'à n'importe quel moment de son histoire.

De même, et simultanément, l'un des journalistes les plus connus d'Amérique, Dennis Prager, nous avertit que les États-Unis sont maintenant au milieu d'une nouvelle guerre civile. Il a écrit: «Il est temps pour notre société de reconnaître une triste vérité: l'Amérique est actuellement dans sa deuxième guerre civile, en raison de la violence croissante de la Gauche Démocrate, des émeutes, de l’occupation des présidences des collèges et de l'occupation illégale des capitales d'État. La non-violence n'est pas une caractéristique permanente de la Seconde Guerre Civile ". 
Trump a dit clairement comprendre que les ennemis de l’Amérique sont à domicile : les mondialistes, les économistes libéraux, les néoconservateurs et autres unilatéralistes accoutumés à imposer les États-Unis au monde et à les impliquer dans des guerres coûteuses et sans fin, les politiciens qui servent davantage l’establishment dirigeant que le peuple américain, en fait, tout le sommet des intérêts privés qui ont fait couler l’Amérique tout en s’enrichissant dans le processus.
Pour dire la vérité, le président Trump a déclaré une guerre bien plus dangereuse pour lui-même que s’il l’avait déclarée à la Russie et à la Chine.
[Note critique: Contrairement à l'Europe, surtout la France, où les forces franc-maçonnes sont connues et redoutées, les Américains n'ont absolument aucune idée de cette guerre historique qui se déroule autour d'eux.  Mais cela ne peut pas être dit de leurs ancêtres; qui, en 1828 ont formé le parti antimaçonnique pour les empêcher de prendre le pouvoir . Cependant, juste un an plus tard, en 1829, les forces anti maçonniques ont été totalement défaites par les forces franc-maçonnes fidèles au Premier Grand-Maître, le président Andrew Jackson et dont le portrait a été immédiatement installé dans le bureau ovale de la Maison Blanche dès la prise de pouvoir par le président franc-maçon Trump.  Fin de la note]

Déjà, au 1er août 2016, la CIA savait que les compétences linguistiques acquises auprès des francs-maçons par Trump le propulseraient  à la présidence, ce qui  a amené  la CIA  à déclarer« une guerre à mort » contre lui. En effet, Le lancement par la CIA de cette guerre contre Trump, a débuté pendant le mois d'août. C’est le mois le plus vénéré par les francs-maçons, car c’est le 4 août 1753 que  le premier chef franc-maçon, George Washington, a été déclaré Maître Maçon, lors d'une cérémonie secrète à Fredericksburg, en Virginie, et qui a ensuite conduit les États-Unis à la liberté.
Le premier acte manifeste de cette guerre de l’«État profond» contre Trump, était le 8 août 2016, lorsque l'agent de la CIA, Evan McMullin, lançait  un avertissement à Trump disant que la CIA, et non Trump, serait victorieuse pour contrôler les États-Unis. Cette déclaration a été suivie, 10 jours plus tard, le 18 août 2016, par le placement dans les villes américaines de New York, Seattle, San Francisco, Los Angeles et Cleveland 5 statues nues de Trump portant un anneau maçonnique.  En effet, la CIA, par l'intermédiaire de leur groupe anarchiste mondial, appelé INDECLINE, avait créé ces statues comme un autre avertissement moqueur, signifiant à Trump qu'ils savaient qui il était et qu’ils n’en avaient pas peur n'étaient pas dans la crainte de lui. [Note: Il n'existe pas d’«ancien» ou d’«ex» agent de la CIA, car ils signent tous un contrat d’engagement à vie].
Les principaux agents de la CIA qui ont lancé cette guerre contre le président franc-maçon Trump, sont :
(1) Michael Morell (qui était directeur adjoint de la CIA ainsi que son directeur par intérim à deux reprises ; et qui contrôle maintenant toutes les nouvelles autorisées à être diffusées par le réseau de télévision CBS),
(2) Robert Baer (qui contrôle tous les médias écrits autorisés à être imprimé par Time Magazine, The Washington Post, The Wall Street Journal, etc.), et
(3) Evan McMullin, qui, il ya quelques jours, est devenu le principal porte-parole du site Web Standuprepublic.com financé par la CIA qui diffuse des vidéos anti-Trump dans le but de créer leur propre armée de citoyens (c.-à-d. des chairs à canon)
L'exposition de ces dirigeants de la CIA qui tentent de détruire le président franc-maçon Trump, a été accomplie grâce aux efforts du Dr Udo Ulfkotte, qui, en tant que journaliste allemand, a révélé que tous les médias occidentaux sont maintenant contrôlés par la CIA. Pour avoir dit la vérité, il a  été assassiné la semaine dernière avant sa rencontre Trump à New York. 
De même, l'ancien reporter du Washington Post, Carl Bernstein, (qui avait révélé le Watergate) avait déjà révélé, en 2007, que la CIA avait pris le contrôle de l'ensemble des réseaux d’infos de télévision, de journaux et de magasines en Amérique.  Mais comme il est  aujourd'hui l’objet d'un «avis de mort» émis par la CIA, il prétend maintenant que des responsables anonymes de haut rang du Parti Républicain doutent de la stabilité émotionnelle de Trump.
Tout en endurant cette guerre non-stop du "Deep State" dirigée par la CIA contre lui, le président Trump ne montre aucun signe de faiblesse. La preuve en est qu’hier, 26 janvier, il a envoyé un message aux comploteurs, par l’intermédiaire de son aide Steve Bannon, leur disant «je vous demande de la fermer et juste d’écouter pendant un certain temps». Ce message a sûrement été reçu par la CIA, car cette dernière sait que  Bannon utilisait la «toile sombre d’Internet» pour recruter des assassins endurcis durant ces dernières années.
Le plan conçu par l’État Profond est un coup d’état semblable à celui élaboré et promulgué par le Département d'État américain d’Hillary Clinton contre l'Ukraine en 2014, et conduit par le haut fonctionnaire du Département d'État,  Victoria “Fuck the EU” Nuland, et que le géant mondial de l'espionnage Stratfor (connu sous le nom "The Shadow CIA") a appelé "le coup d’état le plus flagrant de l'histoire".
La CIA ayant été en mesure d'installer en Ukraine un gouvernement néonazi sans que le peuple  américain sache la vérité sur ce qui se passait, la CIA tente maintenant de le reproduire contre le président franc-maçon Trump. Ce qui a amené le ministre allemand des Affaires Étrangères, Frank-Walter Steinmeier , à déclarer, la semaine dernière : “avec l'élection de Trump, l'ancien monde du XXe siècle est mort. Ce à quoi le monde de demain ressemblera n'est pas encore clair ”. Quelques heures après cette déclaration, le président allemand Joachim Gauck le vira.
Malgré que :
(a) la chaîne de télévision ABC (contrôlée par la CIA) a diffusé une publicité sur un président assassiné, il y a quelques jours,  au cours d’une émission spéciale sur Trump, et que
(c) l'ancien chef soviétique Mikhaïl Gorbatchev avertissait gravement que " Tout se passe comme si le monde se prépare à la guerre ",

Mais le président Trump, une fois de plus, ne recule pas, comme en témoigne sa purge récente du Département d'État américain de tous les hauts responsables qui ont planifié le coup d'État nazi en Ukraine. Le président Trump fait ce qu’il dit, et dit ce qu’il fait [1].

Et, dans un autre acte plus stupéfiant contre ces comploteurs de la CIA et de son État Profond, le Président Trump se prépare à  inonder les États-Unis avec des réfugiés de guerre chrétiens du Moyen-Orient , comme nous l’avions annoncé dans un autre article intitulé : Le plan de Trump pour installer 3,5 millions de réfugiés chrétiens le long de la côte ouest des États-Unis est chaleureusement salué par l'église russe

Pour savoir pourquoi le chef des francs-maçons, le président Trump, ne montre aucune crainte vis-à-vis de ces comploteurs de l'état profond de la CIA, nous devons nous référer à sa nouvelle et puissante alliance avec ses frères maçonniques du Royaume-Uni, dont le premier ministre, Theresa May, menace de détruire l’ordre européen globaliste. Elle s'engage, avec Trump,  à ne plus faire partie des guerres de «changement de régime» de type irakien, libyen ou syrien. C’est une nouvelle version de l’alliance du président Ronald Reagan et du premier ministre Margaret Thatcher qui, dans les années 1980, a sauvé notre monde de l'Armageddon nucléaire.
 
Cependant, même si le Président Trump et le Premier ministre May survivent à cette brutale guerre dirigée contre eux par le  "Deep State" de la CIA, le pire sera peut-être dans les semaines ou les mois à venir. En effet, les médias contrôlés par la CIA ont rapporté hier que le virus mortel de la grippe aviaire est prêt à provoquer une pandémie humaine mondiale imparable. Qui a répandu, ou répandra cette épidémie ? Seule la CIA le sait.

NOTES
Donald Trump signe les décrets anti-immigration et pour le mur avec le Mexique. © DPA / Chip Somodevilla.
[1]. En moins d’une semaine, le nouveau président des États-Unis a donné des orientations claires à sa politique à la tête de la Maison-Blanche. Donald Trump, pour le meilleur ou pour le pire (chacun jugera…), tient plusieurs de ses promesses de campagne dès les premiers jours de son mandat. Et cette politique à marche forcée passe par la signature médiatisée de plusieurs « executive orders », des décrets.

Vendredi 20 janvier
• Obamacare | Un des premiers décrets signé par Donald Trump quand il est devenu président le 20 janvier vise à minimiser «  le fardeau  » économique de la loi d’assurance santé « Obamacare » de son prédécesseur. • Journée patriotique | Donald Trump proclame le 20 janvier 2017, date de son investiture, «  journée nationale du dévouement patriotique  », pour «  renforcer nos liens entre nous et avec notre pays  ».
Lundi 23 janvier
• Sortir du Traité transpacifique | Donald Trump signe l’acte de retrait des États-Unis du traité de libre-échange transpacifique (TPP), dont l’administration de Barack Obama avait fait l’une de ses priorités.
• Texte anti-avortement | Donald Trump signe un mémorandum interdisant le financement, par des fonds fédéraux, d’ONG internationales qui soutiennent l’avortement.
• Moins de fonctionnaires | Le nouveau président signe un décret gelant les embauches des fonctionnaires au niveau fédéral, qui ne s’applique cependant pas au personnel militaire, suivant sa promesse de «  curer le marigot  » en réduisant le nombre et le statut des fonctionnaires.
• Des agences fédérales contraintes au silence | Plusieurs ministères et agences fédérales publient des circulaires imposant aux fonctionnaires un verrouillage de leur communication. À l’Agence de protection de l’environnement (EPA), toute communication au public, à la presse et sur les réseaux sociaux est désormais interdite.
Mardi 24 janvier
• Les oléoducs controversés | Donald Trump redonne vie au projet du gigantesque oléoduc Keystone XL reliant le Canada aux États-Unis, dont la construction avait été bloquée par M. Obama au nom de la lutte contre le changement climatique.
Mercredi 25 janvier
• Le mur avec le Mexique | Donald Trump a signé un décret lançant la construction d’un mur à la frontière entre les États-Unis et le Mexique pour endiguer l’immigration clandestine, la promesse la plus emblématique de sa campagne. Ce coup d’envoi reste largement symbolique à ce stade. Le Mexique refuse de financer cette construction.
• Une législation anti-immigration | Donald Trump a signé un autre décret mercredi pour appliquer plus sévèrement la législation sur l’immigration. Ce décret comporte deux volets importants :
- Il prévoit de réduire les financements fédéraux de Washington pour les quelque 200 « villes sanctuaires » aux États-Unis qui accueillent depuis des décennies des immigrés clandestins.
- Le décret oblige également le secrétaire à la Sécurité intérieure à «  rendre publique une liste exhaustive des actes criminels commis par des étrangers  » aux États-Unis. Aucune précision n’a été prise quant aux immigrés clandestins.
Cette fin de semaine...
• Interdire d’entrée aux États-Unis des ressortissants de pays musulmans | Donald Trump veut pousser plus loin sa législation anti-immigration. Il bloquerait pendant un mois l’arrivée en Amérique de ressortissants de sept pays musulmans : Irak, Iran, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen.
Et ensuite…
• Limitation du financement américain de l’ONU | L’administration Trump prépare deux décrets qui prévoient la réduction, voire la suppression, de la contribution financière des États-Unis à plusieurs agences des Nations unies et organisations internationales, et la révision d’une série de traités, rapporte mercredi le New York Times.
• Rouvrir les prisons secrètes ? | Un autre projet de décret ouvrirait la voie à la réouverture des contestées prisons secrètes de la CIA à l’étranger, fermées par Barack Obama, selon des journaux américains mercredi, mais la Maison Blanche a contesté être l’auteur du document publié.
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Hannibal GENSERIC