samedi 16 avril 2016

Tunisie - CIA. Le mystère des "Assassinats ciblés" par crise cardiaque et par cancer



Après près de 80 années de recherche et de développement, il y a maintenant un moyen de simuler une véritable crise cardiaque et de donner à une personne en bonne santé le cancer. Ces deux méthodes sont utilisées comme un moyen d'assassinat, en Tunisie, en particulier. Seul un médecin très habile, qui sait exactement ce qu'il faut chercher lors d’une autopsie, pourrait distinguer un assassinat d’une véritable mort naturelle.
En Tunisie, après la pseudo révolution, plusieurs personnalités de gauche, des laïques, etc. sont morts "subitement"  de crise cardiaque ou de cancer. 
La CIA a-t-elle fourni ces armes indétectables aux islamistes afin qu'ils liquident en douce tous ceux qui ne leur plaisent pas ? C'est plus que probable, c'est certain. 
En 1931, Cornelius Rhoads, un pathologiste de l'Institut Rockefeller pour la recherche médicale, infecte volontairement des sujets humains à Porto Rico avec des cellules cancéreuses, 13 d'entre eux sont morts. Rhoads va plus loin en établissant des installations de guerre biologique pour l’armée américaine à Fort Detrick (Maryland), , en Utah et au Panama (Ces laboratoires ont créé le virus VIH / SIDA, le virus de la grippe aviaire et le virus de la grippe porcine / A-H1N1).
Si les organismes gouvernementaux ont trouvé un moyen d'influencer votre fréquence cardiaque, votre pression artérielle, ou votre dilatation vasculaire, alors il n’y a aucune difficulté à provoquer chez vous une crise cardiaque qui a l’air naturelle. La recherche neurologique a trouvé que le cerveau a des fréquences spécifiques pour chaque mouvement volontaire appelé ensembles préparatoires. En tirant sur votre poitrine avec un faisceau de micro-ondes contenant les signaux ELF (Extrême Basse Fréquence) émis par le cœur, cet organe peut être mis dans un état chaotique, que l'on appelle attaque cardiaque. De cette façon, les dirigeants de haut niveau des partis politiques qui sont sujets à des crises cardiaques peuvent être tués avant qu'ils ne causent un problème.  

Comment ça marche ?

Un type spécial de poison développé pour la CIA induit une crise cardiaque et ne laisse aucune trace, sauf si une autopsie est réalisée pour rechercher ce poison particulier et très secret. La CIA a révélé avoir utilisé ce poison dans divers comptes au début des années 1970. Lors d’une audition au Congrès, la CIA a même révélé l'arme qui a tiré ces fléchettes qui induit une crise cardiaque. Le dard de cette arme secrète est constitué du poison congelé sous fourme d'une aiguille très fine. Tirée par un pistolet spécial, l'aiguille-poison peut pénétrer à travers les vêtements et ne laisser rien d'autre qu'un petit point rouge sur la peau. Une fois sous la peau, l'aiguille se décongèle, fond et ne laisse aucune trace. La victime ciblée pour assassinat peut sentir comme une piqûre de moustique, ou ne rien sentir du tout. Le dard empoisonné se désintègre complètement en entrant dans la cible. Puis le poison mortel pénètre rapidement dans la circulation sanguine provoquant une crise cardiaque. Une fois que le mal est fait, le poison se dénature rapidement, de sorte que l'autopsie a très peu de chances de détecter que l'attaque cardiaque résulte de causes autres que naturelles. Un ancien agent de la CIA a révélé tous ces détails.

Charles Senseney, un développeur d’armes pour la CIA à Fort Detrick, Maryland, a témoigné devant le Comité du renseignement du Sénat en Septembre 1975. Il y a décrit une arme-parapluie à flèches empoisonnées, qu'il avait développée. Il a dit qu'elle était toujours utilisée par la CIA. En étant dans la foule avec le parapluie ouvert, l’agent tire à travers la palmure du parapluie sans attirer l'attention. Comme l’arme est silencieuse, personne dans la foule ne peut l'entendre et « l'assassin officiel » n’avait qu’à plier son parapluie et continuer à flâner loin du crime. Des images vidéo de l'assassinat de John F Kennedy montrent ce parapluie-pistolet utilisé dans Dealey Plaza. La preuve vidéo des événements du 22 Novembre 1963 montre que le premier coup de feu tiré sur JFK et son épouse, le jour fatidique, avait eu un effet paralysant sur les Kennedy. Les poings de JFK étaient serrés et sa tête, ses épaules et ses bras semblaient se raidir. Une autopsie a révélé qu'il y avait une petite plaie d'entrée dans son cou, mais aucune preuve d'un chemin de balle dans son cou et aucune balle n'a jamais été récupérée qui correspondait à cette petite taille.

Exemples d'exécutions indécelables

Depuis plus de 60 ans, des assassinats ont été menées si habilement qu’ils ont à laissé l'impression que les victimes sont mortes de causes naturelles.
Parmi les témoins, les personnes et les conspirateurs importants qui auraient pu être éliminés par une crise cardiaque induite et le cancer provoqué, on peut citer: Jack Rudy (mort d'un accident vasculaire cérébral dû à une forme non diagnostiquée d'un cancer agressif, quelques semaines seulement après qu'il a accepté de témoigner devant le Congrès à propos de l'assassinat de JFK ), Clay Shaw , J. Edgar Hoover , Earlene Roberts (épouse d'Oswald), Marlyn Monroe, Slobodan Milosevic, Kenneth Lay (ancien PDG de ENRON - le plus grand contributeur de la campagne politique de Gorge W. Bush et Dick Cheney), Matt Simmons, Mark Pittman (un journaliste qui avait prédit la crise financière et exposé les malversations de la réserve fédérale.), Elizabeth Edwards (morte d’un cancer soudain, pendant que son mari menait campagne contre Barack Obama et Hillary Clinton), ...

Le banquier d'investissement Matt Simmons, un expert de l'industrie pétrolière, a été assassiné par crise cardiaque car il était un dénonciateur de l'administration Obama qui étouffait le fait que BP Gulf Oil polluait gravement la côte américaine du Golfe du Mexique. L'autopsie pratiquée par le bureau du médecin légiste a conclu qu'il est mort de noyade accidentelle « avec les maladies cardiaques comme un facteur contributif. »
Son livre best-seller en 2005, Twilight in the Desert démontre que l'Arabie saoudite a largement surestimé la taille de ses réserves de pétrole et que le monde était au seuil d'une grave pénurie de pétrole car les gisements les plus importants sont épuisés. Cette révélation est soutenue par l'Iran. L'Iran sait que le pétrole du Moyen-Orient sera rapidement épuisé et pour cette raison, l’Iran se concentre maintenant sur la construction de réacteurs nucléaires. Une fois que le pétrole sera épuisé, l'Iran sera le seul pays du Moyen-Orient qui sera autosuffisant en énergie. Tous les autres pays du Moyen-Orient, y compris l'Arabie saoudite deviendront des États pauvres du Tiers-Monde.

Exemples en Tunisie

1) La mort de Faouzi Ben Mrad, le 6 avril 2013, membre de la commission de défense de Chokri Belaid, un avocat qui a contribué à la dissolution du RCD, a suscité une polémique, dans un contexte où la suspicion semble plus que jamais régner.
Son décès par crise cardiaque annoncé ce samedi 6 avril, a ainsi été considéré comme étant plutôt suspect, par bon nombre de Tunisiens.
Et sa mort soulève bien des questions.  Les Tunisiens s’interrogent, en effet, sur cette «épidémie» de crises cardiaques qui semblent frapper des personnalités politiques. Et pour cause.
2) Le 2 janvier 2012, c’était Maître Abdelfattah Amor, juriste et ancien fonctionnaire des Nations Unies, et surtout le président de la Commission nationale d'investigation sur les affaires de corruption et de malversation qui meurt des suites d'une crise cardiaque.
3) En décembre 2013, l’activiste Tarek Mekki, l’homme qui a appelé les Tunisiens à prendre l’assaut le palais de Carthage pour déloger le dictateur Ben Ali, celui qui a inauguré les harangues incendiaires sur les réseaux sociaux, est aussi décédé d'une crise cardiaque à Hammamet.
4) Le 10 janvier 2013, Habib Babour, membre de la Commission de coordination du parti de Nida Tounès à Tataouine, a été retrouvé mort dans sa chambre d’hôtel à Tunis. L’autopsie avait révélé qu’il était mort suite à une crise cardiaque. Certaines sources du parti dirigé par Caid Essesbi affirment que M. Babour devait succéder à Lotfi Nagdh en tant coordinateur de Nidaa Tounès à Tataouine. 
5) Or M. Nagdh lui-même, a également été déclaré, dans un premier temps, «mort des suites d’une "crise cardiaque" avant que cette version initialement «certifiée» par un médecin légiste, ne soit abandonnée, sous la pression de l’opposition.
6) Le député à l’Assemblée Constituante pour le gouvernorat de Bizerte et secrétaire général du parti   "Le Troisième Choix", Mohamed Allouche, est décédé dans la soirée du mercredi 22 janvier 2014 des suites d’une crise cardiaque.
7) Sghaier Ouled Ahmed, poète tunisien est décédé  mardi 5 avril 2016, d'un cancer .
Le 14 avril 2014, L’ancien secrétaire général d’Al-Massar, Ahmed Brahim, est décédé  à l’âge de 70 ans, à la suite d’un cancer.
Après "la révolution de la brouette", il a brièvement occupé le poste de ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique dans le 1er gouvernement de Mohamed Ghannouchi, mais il a démissionné après quelques mois, avant d’être élu, en octobre 2011, à l’Assemblée nationale constituante (ANC).
Après ces élections, il est devenu secrétaire général d’Al-Massar (Voie démocratique et sociale), qui a regroupé le mouvement Ettajdid, le Parti du travail tunisien et le Pôle démocratique moderniste.
8) Abderrazak Hammami avocat, mort le 10 avril 2016, d'une crise cardiaque à l'âge de 68 ans. Il était secrétaire général du Parti du travail patriotique et démocratique (PTPD).
 
Aidez-moi à compléter cette sinistre liste et envoyez-moi les noms des victimes (h.genseric@gmail.com). Entrez le nom de chaque personne qui, politiquement, a son franc-parler, un dénonciateur ou un témoin qui est mort subitement d'une crise cardiaque ou d'un cancer soudain et incurable.

Hannibal GENSERIC